« Et sans doute notre temps ... préfère
l'image à la chose, la copie à l'original, la représentation
à la réalité, l'apparence à l'être ...
Ce qui est sacré pour lui, ce n'est que l'illusion, mais ce qui
est profane, c'est la vérité. »
Ludwig FEUERBACH
Préface à la deuxième édition de
"L'Essence du christianisme" (1841)